dimanche 9 novembre 2008

des stationnements et pas de bouleaux

Suite du message de vendredi 7 novembre: pas d'amélioration: ce dimanche, rue de la gare, le chantier n'est toujours pas indiqué, ni protégé, alors qu'on est sur une voie ouverte à tous.

Pendant qu'on est sur cette photo, vous ne pouvez pas remarquer mais il y avait une rangée de bouleaux à droite de la chaussée, le long du lotissement existant. Mais les architectes de la SELA ont considéré qu'il fallait mieux faire des parkings à la place des arbres: aussitôt dit, aussitôt fait.


Sachant que la partie à gauche est actuellement complètement vide d'habitation, que les arbustes existants seront rasés, et qu'un ligne d'arbres sera plantée à gauche de la chaussée sur le trottoir, devant les constructions de la ZAC; on se demande:
  • pourquoi les stationnements seront-ils établis à coté du lotissement ancien, alors qu'ils seront utilisés par les futurs habitants de la ZAC, de l'autre coté de la rue?
  • pourquoi ces habitants en place se sont-ils vus privés de leurs arbres et voyent ainsi la circulation se rapprocher de leur maison. (d'accord, des bouleaux si près des maisons, c'est un peu gênant, mais c'est mieux que des voitures) ?
  • pour des raisons de sécurité, n'aurait-il pas été mieux de faire les stationnements à gauche, à l'extérieur du virage, plutôt qu'à droite, , intérieur du virage?
Il y a la même situation rue de la Minais, le trottoir planté d'arbres est du coté des nouveaux bâtiments de la ZAC et non du coté des habitations existantes. C'est vrai que les nouvelles constructions étant implantées juste en limite du trottoir, les fenêtres ne seraient qu'à 1 m de la route sans cette haie.
On a l'impression, que tout est orienté en faveur de la ZAC, au détriment des habitants du secteur, et qu'il ne faut pas perdre un m² de la ZAC, en conservant un aspect espace vert, pour la façade (éco-quartier oblige).
Sans oublier que tout ça va certainement coûter cher (toujours aux mêmes contribuables) alors qu'apparemment, il n'y avait pas besoin de toucher aux arbres ni au trottoir existant. ( Au fait, où est passé le bois ?) Et il va falloir 20 ans pour retrouver les arbres comme aujourd'hui (ou plutôt hier, mi octobre 2008).


C'est dimanche, 2 autres photos du jour, une rue de la Poitevinière, une rue de la Minais: on comprend que le char des reines de Nantes ne veuille plus passer.

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