Il parait, d'après l'architecte de la SELA, que l'hydrologie est respectée, il parait que le drainage (éventuel) ne serait qu'à 1 mètre /1,5 mètre de profondeur comme pour n'importe quel bâtiment, que cela n'aurait aucune influence sur la nappe phréatique, que l'on a tort de s'inquiéter.
Il parait aussi qu'il n'y a aucun risque de problème d'eau souterraine pour les constructions, que tout a été étudié.
Et bien Oui, tout a été étudié, la solution: drains en profondeur à 3,5 mètres, je ne sais pas où est l'exutoire, gageons que cela explique les canalisation d'évacuations d'eaux pluviales à 4 mètres de profondeur.
Voilà, tout est cohérent et la nappe phréatique et les réseaux d'eaux de la haute vallée, ils iront se faire voir en dessous dans la roche, il reste 50 cm à 1m avant le fond rocheux.
Je n'avais pas parlé de ça dans ma communication du 13 décembre 2008, effectivement, j'avais fait confiance en l'architecte de la SELA, j'ai été très naïf.
Et les ruisseaux et les plantes, les arbres. Et bien comme disait le professeur Choron "qu'ils crèvent".
Comme quoi les intérêts privés et égoïstes ... "on vit une époque formidable " dixit Reiser.
(photo le long des sous-sols Lamotte prise le 3/01/2009: le rouleau blanc au pied du mur noir, c'est du drain enrobé)
Ca doit être ça un éco-quartier.
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